Juste avant la nuit

Juste avant la nuit

Données clés
Réalisation Claude Chabrol
Scénario Claude Chabrol
Acteurs principaux

Stéphane Audran
Michel Bouquet
François Périer
Henri Attal
Dominique Zardi

Sociétés de production Les Films de La Boétie
Cinegai
Pays de production Drapeau de la France France
Drapeau de l'Italie Italie
Genre Drame
Policier
Durée 107 minutes
Sortie 1971

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

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Juste avant la nuit est un film franco-italien réalisé par Claude Chabrol, sorti en 1971.

Synopsis

Charles Masson, chef d'entreprise et père de famille, est entraîné par sa maîtresse Laura dans des jeux pervers. Ainsi va-t-elle un jour jusqu'à lui demander de faire semblant de la tuer. Elle le provoque tant et si bien que Charles finit par l'étrangler dans le studio parisien où ils se rencontrent. Après avoir jeté dans une bouche d'égout un mouchoir compromettant, il rentre chez lui. Laura était l'épouse du meilleur ami de Charles, François Tellier, architecte, qui ne tarde pas à découvrir que celle-ci le trompait…

Fiche technique

  • Titre original : Juste avant la nuit
  • Réalisation : Claude Chabrol
  • Scénario : Claude Chabrol, d'après le roman d'Edward Atiyah, The Thin Line
  • Décors : Guy Littaye
  • Photographie : Jean Rabier
  • Montage : Jacques Gaillard
  • Musique : Pierre Jansen
  • Son : Guy Chichignoud
  • Production : André Génovès
  • Coproduction : Felice Testa Gay
  • Sociétés de production : Les Films de La Boétie, Cinegai
  • Société de distribution : Columbia Pictures
  • Pays d'origine : Drapeau de la France France
  • Langue originale : français
  • Format : couleur (Eastmancolor) — 35 mm — son Mono
  • Genre : drame, policier
  • Durée : 107 minutes
  • Date de sortie : France,

Distribution

Autour du film

La maison et le jardin de Charles et Hélène Masson ont été conçus et réalisés par l'architecte Jack Hamoniau[1].

Distinctions

Accueil

« Charles évoque les antihéros de Simenon mal à l'aise dans leur milieu, et dont le masque public dissimule à grand-peine les failles intimes. Il est aussi un personnage dostoïevskien, hanté par le péché et qui ne peut « pas supporter de ne pas être jugé ». Son obsession de la justice se heurte aux mensonges d'une bourgeoisie pour qui la vérité est scandale, rupture de l'ordre établi. Comme si le crime était au fond moins grave que son aveu. »

— Samuel Douhaire, Télérama, 1er octobre 2011

Voir aussi

Notes et références

  1. Mentionné dans le générique de fin de film.

Liens externes

  • Ressources relatives à l'audiovisuelVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • AllMovie
    • Allociné
    • Centre national du cinéma et de l'image animée
    • Ciné-Ressources
    • Filmweb.pl
    • IMDb
    • LUMIERE
    • OFDb
    • Rotten Tomatoes
    • The Movie Database
    • Unifrance
  • Analyse du film sur senscritique.com
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