Emīlija Gruzīte

Emīlija Gruzīte
Biographie
Naissance
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LettonieVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 71 ans)
RigaVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
lettonneVoir et modifier les données sur Wikidata
Activité
PeintreVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Mouvement
RéalismeVoir et modifier les données sur Wikidata

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Emīlija Gruzīte, née Emīlija Upīte le dans le Rajons de Madona et morte en à Riga, est l'une des premières femmes peintres lettones au début du XXe siècle[1],[2], attirant l'attention du public, de l'Unité des artistes indépendants et des journalistes.

Biographie

Emīlija Gruzīte est née le dans le manoir familial. Elle apprend la peinture avec ses professeurs de la paroisse et d'école. À Riga, ville des écrivains et des journalistes, elle devient une étudiante de Vilhelms Purvītis sur les recommandations de Rūdolfs Blaumanis.

En 1897, Emīlija Upīte a épousé Alfrēds Gruzīte, le rédacteur et journaliste des journaux Dienas Lapa, Kuldīgas Vēstnesis et Kurzemnieks[2].

Elle expose pour la première fois en 1903 avec d'autres artistes et en solo, en 1907[3]. Elle continue d'exposer jusqu'à la Première Guerre mondiale et écrit sur l'art pour des journaux (Kuldīgas vēstnesis, Sieviete)[3]. Son poème Tevi atstāju est mis en musique par Emīls Dārziņš[2].

Elle fait partie des artistes de l'exposition Âmes sauvages au Musée d'Orsay en 2018[4].

Elle meurt en à Riga.

Bibliographie

  • Red. Vilsons, A. Māksla un arhitektūra biogrāfijās. Riga: Latvijas enciklopēdija, 1995. 239 p.

Référence

  1. ↑ (lv)« studija », sur www.studija.lv (consulté le )
  2. ↑ a b et c (lv)Pauls Bankovskis, Kaija pie manis saslima
  3. ↑ a et b (en) Aldis Purs et Andrejs Plakans, Historical Dictionary of Latvia, Lanham (Md.), Rowman & Littlefield, , 410 p. (ISBN 978-1-5381-0221-3, lire en ligne)
  4. ↑ « Musée d'Orsay: Âmes sauvages. Le symbolisme dans les pays baltes », sur www.musee-orsay.fr (consulté le )

Liens externes

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