Camille Aboussouan, né le à Beyrouth, décédé le à Paris 16e[1], est un avocat, diplomate, écrivain, bibliophile et traducteur libanais francophone. Ancien ambassadeur du Liban auprès de l'UNESCO, il est titulaire du prix de la langue-française 1947 ainsi que du prix littéraire 1986 de l'Académie française et l'auteur d'une traduction du Prophète de Gibran Khalil Gibran[2]. En 1945, il fonde à Beyrouth la revue culturelle Les Cahiers de l'Est. De 1961 à 1978, il est conservateur du Musée Sursock à Beyrouth.
Il lègue en 2000 au musée des Beaux-Arts d'Agen une donation d'archéologie orientale d'environ 1400 pièces provenant du Liban, de la Syrie et de l'ancienne Mésopotamie.
Œuvre
L’architecture libanaise du XVe au XIXe siècle. Médaille d’argent du prix littéraire 1986 de l'Académie française[3]Les Cahiers de l'Est, Beyrouth, 1985.
Caricature de S Exc Mtr Camille AboussouanCaricature de S Exc Mtr Camille Aboussouan avec la plume de sa petite cousine Eleonore Aboussouan. https://commons.wikimedia.org/wiki/Special:UploadWizard