Angélique D'Hannetaire

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Pour les articles homonymes, voir Servandoni, D'Hannetaire et Eugénie D'Hannetaire.

Angélique D 'Hannetaire
Buste d'Angélique d'Hannetaire par Gilles-Lambert Godecharle au Cercle Gaulois
Biographie
Naissance
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ToulouseVoir et modifier les données sur Wikidata
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 72 ans)
Ancien 11e arrondissement de ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
françaiseVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Actrice, artiste lyriqueVoir et modifier les données sur Wikidata
Père
D 'HannetaireVoir et modifier les données sur Wikidata
Fratrie
Eugénie D 'HannetaireVoir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Tessiture
SopranoVoir et modifier les données sur Wikidata

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Marie-Angélique Servandoni, dite Angélique d'Hannetaire, née le à Toulouse et morte le à Paris, est une actrice française.

Biographie

Angélique d'Hannetaire nait le 22 septembre 1749 à Toulouse[1]. Elle est la fille de la comédienne Marguerite Hue et du comédien et directeur de théâtre D'Hannetaire[2].

Elle vécue Bruxelles jusqu’en 1784 avant de déménager à Paris.

Carrière

Elle débute au Théâtre de la Monnaie à l'âge de douze ans dans La Servante maîtresse de Pierre Baurans, d'après l'œuvre de Pergolèse, aux côtés d'Alexandre Bultos. Elle rejoindra ensuite la troupe des Comédiens ordinaires de S. A. R. le prince Charles de Lorraine en 1766.

En 1777, elle tient le rôle principal dans l'opéra-comique Céphalide ou les Autres Mariages samnites[3].

Sa carrière s’arrête en 1779[2].

Formation

Angélique d'Hannetaire s'est formée au près du musicien Ignace Vitzthumb[2].

Références

  1. ↑ « Inventaire après décès de Marie-Angélique Servandoni d'Hannetaire, décédée à Paris, rue de l'Odéon, n°35, le 14 avril 1822. A la requête de Jacques Auguste Gerbet, demeurant à Paris, rue du Pot de fer, n°14, exécuteur testamentaire de la défunte. », sur FranceArchives (consulté le )
  2. ↑ a b et c Jean-Philippe Van Aelbrouck, « Jean-Nicolas Servandoni D’Hannetaire et ses filles, gloires du théâtre de la Monnaie », Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles. Sociétés de cour en Europe, XVIe – XIXe siècle - European Court Societies, 16th to 19th Centuries, no 22,‎ (ISSN 1958-9271, DOI 10.4000/crcv.25240, lire en ligne, consulté le )
  3. ↑ Histoire Du Theatre Francais, Slatkine (lire en ligne)
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